Liste des sources
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Note N406 :
Individus : GUIDRY Claude
Embarque le 12/08/1785 sur le navire "La ville d'Archangel" à Saint Malo et arrive à la Nouvelle Orléans le 03/12/1785
Note N407 :
Individus : LEJEUNE dit BRIAND Anne
Embarque le 12/08/1785 sur le navire "La ville d'Archangel" à Saint Malo et arrive à la Nouvelle Orléans le 03/12/1785
Note N408 :
Individus : GUÉDRY Jean Baptiste
Embarque le 12/08/1785 sur le navire "La ville d'Archangel" à Saint Malo et arrive à la Nouvelle Orléans le 03/12/1785
Note N409 :
Individus : GUÉDRY Joseph
Embarque le 12/08/1785 sur le navire "La ville d'Archangel" à Saint Malo et arrive à la Nouvelle Orléans le 03/12/1785
Note N410 :
Individus : GUÉDRY Pierre
Embarque le 12/08/1785 sur le navire "La ville d'Archangel" à Saint Malo et arrive à la Nouvelle Orléans le 03/12/1785
Note N411 :
Individus : GUÉDRY Charles
Embarque le 12/08/1785 sur le navire "La ville d'Archangel" à Saint Malo et arrive à la Nouvelle Orléans le 03/12/1785
Note N412 :
Individus : GUÉDRY Augustin
Embarque le 12/08/1785 sur le navire "La ville d'Archangel" à Saint Malo et arrive à la Nouvelle Orléans le 03/12/1785
Note N413 :
Individus : HACHÉ Marie Josèphe
Citée au recensement de Sinnamary de 1765
Note N414 :
Individus : LEBLANC Claude
Débarque du "Tamerlan" à St Malo le 16 janvier 1759
Part de Nantes le 12 mai 1785 sur "La Bergère" et arrive à la Nouvelle Orléans le 15 août 1785
Note N415 :
Individus : HÉBERT Adélaïde "Madeleine"
Le 9 mars 1759, Charles Guédry, Madeleine Hébert, sa première femme et leurs enfants Marguerite Guédry, Antoine Guédry et Anne Laurence Guédry débarquent à Saint Malo du navire "Le Supply".
Note N416 :
Individus : MIUS Philippe
Indienne MicMac
Note N417 :
Individus : COYOTE BLANC Marie
Indienne Micmac
MICMAC ou MI'KMAQ ("alliés"): Une tribu indienne qui occupait à l'origine la totalité de la zone maritîme du Canada, y compris la Nouelle Ecosse, l'île de Cap Breton, l'île du Prince Edouard, le Nouveau Brunswick and des parties de Terre Neuve et du maine. Ils furent contactés par Cabot en 1497, et devinrent alliés des français jusqu'en 1759. Leur longue asociation avec le Canada français entraîna un mélange inévitable de races et la perte d'un certain nombre d'us et coutumes. Cependant, ce sont les seuls Algonquiens du Nord East qui ont gardé leur langue de façon significative. La population originale devait être d'environ 5000 individus. De nos jours, environ 10000 vivent dans une trentaine de réserves, et à peu près autant sont dipersés dans l'Est du Canada.
Note N418 :
Individus : HÉBERT Étienne (3184, 6318)
HÉBERT, Étienne, came from France with his wife Marie Gaudet, according to nine depositions: one from his grandson Jean Hébert (Doc. inéd., Vol. III, p. 11), one from Pierre Trahan, husband of his granddaughter Madeleine Comeau (ibid., p. 8), one from Pierre and Madeleine’s son Pierre Trahan (ibid., pp. 110-111) and one from their nephews Sylvestre and Simon Trahan (ibid., p. 30), two from husbands of Étienne’s great-granddaughters (ibid., Vol. II, p. 182; Vol. III, p. 90), one from a great-great-grandson (ibid., Vol. III, pp. 93-94), and two from husbands of his great-great-granddaughters (ibid., pp. 45, 92-93). Seven of these depositions name his wife as Marie Gaudet; only those of the two Pierre Trahans, father and son, do not.
Note N419 :
Individus : GAUDET Marie Anne (3185, 6319)
GAUDET, Marie, came from France with her husband Étienne Hébert, according to nine depositions: one from her grandson Jean Hébert (Doc. inéd., Vol. III, p. 11), one from Pierre Trahan, husband of her granddaughter Madeleine Comeau (ibid., p. 8), one from Pierre and Madeleine’s son Pierre Trahan (ibid., pp. 110-111) and one from their nephews Sylvestre and Simon Trahan (ibid., p. 30), two from husbands of Marie’s great-granddaughters (ibid., Vol. II, p. 182; Vol. III, p. 90), one from a great-great-grandson (ibid., Vol. III, pp. 93-94), and two from husbands of her great-great-granddaughters (ibid., pp. 45, 92-93). Seven of these depositions name Marie Gaudet; only those of the two Pierre Trahans, father and son, do not. Marie was a younger sister of Françoise Gaudet, who appears in the preceding paragraph. As Marie Gaudet was also younger than her brother Denis, it may be presumed that he too came to Acadia from France (see A. Godbout, “Jean Gaudet,” SGCF, Vol. XI [1960], pp. 50-53).
Note N420 :
Individus : BRICOU Hubert Joseph
Le mulquinier est l’ouvrier qui tisse les batistes, étoffes de toile fine de lin utilisées pour l’habillement
Note N421 :
Individus : VECO François (392)
Cité dans le recensement de 1752 de l'Ile St Jean (Rivière du Nord Est)
Débarque du "Duc Guillaume" à Saint Malo le 1 Novembre 1758 avec son fils("The Acadian exiles in St Malo, 1758-1785" par Albert J.Robichaux)
Note N422 :
Individus : ARSENAULT Anne Marie (393)
Citée dans le recensement de 1752 de l'Ile St Jean (Rivière du Nord Est)
Son mari est mentionné comme veuf (débarquement du "Duc Guillaume" à Saint Malo le 1er Novembre 1758 (The Acadian exiles in St Malo, 1758-1785" par Albert J.Robichaux)
Note N423 :
Individus : DUBOSCQ Pierre
Débarque du Yarmouth à Saint Malo le 23 Janvier 1759
http://www.migrations.fr/leyarmouth.htm
Note N424 :
Individus : LEMERCIER Suzanne
Débarque du Yarmouth à Saint Malo le 23 Janvier 1759
http://www.migrations.fr/leyarmouth.htm
Note N425 :
Individus : ARSENEAU Pierre (3144)
Arrivé en Acadie en 1671
Note N426 :
Individus : VECOT Jean Baptiste (784)
Arrivé vers 1710
Cité dans le recensement de 1728 de Port St Pierre, Cité dans le recensement de 1730 de Port St Pierre, Cité dans le recensement de 1734 de Havre St Pierre, Cité dans le recensement de 1735 de Port St Pierre, Cité dans le recensement de 1752 de l'Ile St Jean (Pointe de l'Est)
Note N427 :
Individus : CHIASSON Marie (785)
Citée dans le recensement de 1752 de l'Ile St Jean (Pointe de l'Est)
Note N428 :
Individus : TRIEL DIT LAPERRIÈRE Jacques (1580)
Arrivé en Acadie en 1671
Note N429 :
Individus : GIROUARD dit LAVARENNE François Jacques (6286, 6298)
GIROUARD dit LA VARANNE, François, came from France with his wife Jeanne Aucoin, according to two depositions, one made by his great-grandson Pierre Richard (Doc. inéd., Vol. II, p. 191), and another made by Louis Courtin, husband of his great-great-granddaughter Marie-Josèphe Martin (ibid., Vol. III, p. 27). Both of these depositions erroneously call the Girouard ancestor Jacques, instead of François, probably because the deponents presumed that he had borne the same first name as his elder son, to whom they were both connected. François is the name that one finds, however, in three Acadian censuses and in his younger son’s marriage record in the register of Beaubassin (see DGFA-1, pp. 718-719).
Note N430 :
Individus : AUCOIN Jeanne Anne (6287, 6299)
AUCOIN, Jeanne, came from France with her husband François Girouard, according to two depositions, one made by her great-grandson Pierre Richard (Doc. inéd., Vol. II, p. 191), and another made by Louis Courtin, husband of her great-great-granddaughter Marie-Josèphe Martin (ibid., Vol. III, p. 27). Jeanne’s baptismal record (November 26, 1630) has been traced in the records of the parish of Ste-Marguerite at La Rochelle in France.
Note N431 :
Individus : PROTH Thérèse Charlotte "Pauline"
Morte en couches
Note N432 :
Individus : POIRIER dit LAJEUNESSE Jean Baptiste (3138)
Arrivé le 18/06/1665, soldat de la compagnie de Chambly au régiment de Carignan
Poirier dit La Jeunesse, Jean-Baptiste:
Né vers 1647 de Jean Poirier et de Jeanne Ribayro, de Malheres, près de Figérac, évêché de Cahors en Quercy (Lot). Il prend pour épouse une fille du roi, en date du 18 mars 1668 à Montréal (Cont. 8 avril 1680, Not. Adhémar), Marie Langlois, baptisée le 23 octobre 1642, en la paroisse Saint-Jacques de Dieppe, archevêché de Rouen en Normandie. Elle était la fille de François (Thomas) Langlois et de Marie Neufville. Cette fille apporta des biens estimés à 200 livres. Ils s’établirent à Chambly.
Le contrat de mariage a été enregistré que douze ans plus tard devant le notaire Adhémar, Parce « qu'il n'ont point fait de contrat de mariage attendu qu'il n'y avait point de notaire alors ». Marie Langlois serait décédée entre le premier juillet 1687 et le 8 novembre 1688 à Chambly. Ménage établi au même endroit. (10 enfants).
Devenu veuf, il se remarie en date du 22 novembre 1688 à Boucherville (Cont. 8 novembre 1688, Not. Moreau), avec Catherine Moitié, veuve d'un premier mariage avec Désiré Viger, en date du 19 septembre 1667 à Montréal (Cont. 28 septembre 1667, Not. Adhémar). Ce couple Viger / Moitier avait eu (10 enfants). Elle était la fille de Jacques Moitier, maître sergé, huissier royal à La Rochelle, et de Françoise Langevin, baptisée le 14 juin 1649 en la paroisse de Saint-Barthélemy, évêché de La Rochelle en Aunis (Charente-Maritime). Jean-Baptiste Poirier décède le 18 février 1722 à Boucherville. Catherine Moitier décède le 21 octobre 1727 à Boucherville. Ménage établi au même endroit. (1 enfant anonyme de sexe indéterminé).
(Tanguay: vol.1, p.491, 586; Jetté, p.930, 1126; Drouin, vol.2, p.1088; Dumas, p.270, 300; Landry, p.332, 349; Sulte, Hist., vol.5, p.74(1); Sulte et Malchelosse: Le fort de Chambly, p.19; Reg. de Montréal, 1ier mars et 18 mars 1668; Reg. de Québec, 9 octobre 1670; Adhémar, 15 octobre 1673; DBAQ, t4, p.157; Langlois, p.439)
Note N433 :
Individus : LANGLOIS Marie (3139)
http://www.fichierorigine.com/detail.php?numero=242285
Note N434 :
Individus : DUBOCQ Pierre Jacques Jacob
Passager du navire "Le Fort", vers Cayenne en avril 1764
Débarque du Yarmouth à Saint Malo le 23 Janvier 1759
http://www.migrations.fr/leyarmouth.htm
Débarquement à St Malo le 23 janvier 1759, embarquement pour Cayenne le 18 avril 1764 sur "Le Fort"
Note N435 :
Individus : DUBOCQ Magdelaine
Débarque du Yarmouth à Saint Malo le 23 Janvier 1759
http://www.migrations.fr/leyarmouth.htm
Note N436 :
Individus : SAVOIE François (3162)
Arrivé en Acadie vers 1643
Bâtard de Thomas François, Prince de Savoie-Carignan, d'après certains?
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François Savoie serait, 'peut-être', le fils - bâtard - du Prince Thomas François de Savoie, né le 21 décembre 1596 à Turin (Italie) et d'une inconnue. Pour éviter un scandale, la femme a dû s'installer dans la paroisse de Berrie, au château, où elle aurait donné naissance vers 1621 à François. Mais alors pourquoi ne trouve-t-on pas trace d'acte de baptême ? D'abord, on sait que les registres paroissiaux manquent ; d'autre part, l'acte a dû être dressé par un chapelain. L'acte a ensuite été soustrait ( ?) pour ne pas faire de tort au Prince qui a épousé, en 1625, Marie de Bourbon-Condé, Comtesse de Soissons. Ils auront quatre enfants.
Note N437 :
Individus : de SAVOIE-CARIGNAN Thomas François (6324)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_de_Savoie-Carignan
Note N438 :
Individus : de SAVOIE Charles Emmanuel I Le Grand (12648)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles-Emmanuel_Ier_de_Savoie
Note N439 :
Individus : d'ESPAGNE Philippe II (25298)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_II_d%27Espagne
Note N440 :
Individus : de SAVOIE Emmanuel Philibert Tête De Fer (25296)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel-Philibert_de_Savoie_(1528-1580)
Note N441 :
Individus : de SAVOIE Charles III Le Bon (50592)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_III_de_Savoie
Note N442 :
Individus : GUYON SIEUR DUBUISSON Jean (12566)
JEAN GUYON dit DuBuisson:
C'est à Tourouvre, chef-lieu du canton de l'arrondissement de Mortagne-au-Perche, que Jean Guyon possède ses racines terrienne. Fils de Jacques et de Marie Huet, il est baptisé le vendredi 18 septembre 1592, à Saint-Aubin de Tourouvre, département de l'Orne.
Jean Guyon grandit à Tourouvre, fréquente l'école, apprend le métier de maçon et prépare la fondation de son foyer.
Jean Guyon, épouse le 2 ou 12 juin 1615, à la paroisse Saint-Jean de Mortagne, au Perche, Mathurine Robin, fille d'Eustache Robin et de Madeleine Avrard.
Jean Guyon travaille à Mortagne pendant plus de 18 ans. C'est là que naissent huit de ses dix enfants.
Le 14 mars 1634, Jean Guyon et le pionnier Zacharie Cloutier, s'engage par un même contrat, à suivre le seigneur Robert Giffard, en Nouvelle-France.
Le 4 juin 1634, le bateau accoste à Québec, puis quitte la basse-ville pour rejoindre la petite rivière de Notre-Dame de Beauport. Au plus vite, il fallait semer, élever une maison, s'installer. Zacharie Cloutier et Jean Guyon, tracent près de la rivière DuBuisson, leur premier carré de maison, une maison commune, semble-t-il.
Puis en 1637, Robert Giffard leur concède des fiefs dans sa seigneurie de Beauport. Zacharie Cloutier reçoit l'arrière-fief de la Cloutièrerie et pour Jean Guyon, celle du Buisson, près de la rivière du même nom. Guyon s'attribue à lui-même ce surnom DuBuisson.
Jean Guyon, sieur DuBuisson fait venir, après un peu plus d'un an sa femme, Mathurine Robin et ses enfants.
Trois enfants, deux filles et un garçon, nés à Saint-Jean de Mortagne, au Perche, nous tissent des liens de descendance dans cette généalogie, avec leurs parents.
La première, l'aînée, baptisée le 19 avril 1617, Barbe Guyon, épouse le 11 février 1632, le maître coutelier et armurier, Pierre Paradis, à Mortagne. C'est en 1652 que le couple vient s'installer en Nouvelle-France avec leur famille.
La deuxième Guyon, Marie, est baptisée le 18 mars 1624, choisit en 1637 pour époux, un solide normand, le maçon François Bélanger. Celui-ci devient capitaine de milice sur la côte de Beaupré et reçoit, en 1677, la seigneurie de Bonsecours, à l'Islet.
Finalement, le garçon, Claude Guyon, est baptisé le 22 avril 1629, épouse en 1655, une parisienne, Catherine Colin, née en 1638, originaire de la paroisse Saint-Germain l'Auxerrois, de Paris. Leur fille Marie-Madeleine Guyon, née en 1657, épouse en 1671, Gervais Rocheron, mon ancêtre de filiation directe de père en fils, l'un des deux frères ancêtres des Rochon.
Le 17 avril 1662, Mathurine Robin est inhumée à Québec. L'ancêtre Jean Guyon, sieur DuBuisson meurt à son tour, le mercredi 30 mai 1663 et enterré à la capitale de la Colonie le lendemain.
Jean Guyon, sieur DuBuisson est l'ancêtre directe de notre grande chanteuse nationale et internationale, Céline Dion.
Note N443 :
Individus : ROBIN BOULE Mathurine Madeleine (12567)
JEAN GUYON dit DuBuisson:
18 septembre 1592 : Alors que Henri IV tente de conquérir son Royaume, la paroisse Saint-Aubin de Tourouvre dans le Perche vit un bien modeste événement. Sur les registres paroissiaux, le curé rédige en latin l'acte de baptême d'un nouveau paroissien: "Johannes filius Jacobi Guyon et Maria eus uxoris...". Le père Jacques est un notable et la mère s'appelle Marie Huet. On ignore de quoi fut faite la jeunesse du nouveau-né mais l'on retrouve sa trace sur un acte du 18 mai 1614 où il prête une somme d'argent à un laboureur d'Autheuil.
Jean Guyon apprend le métier de maçon. il épouse le 2 ou 12 juin 1615, à la paroisse Saint-Jean et Saint-Malo de Mortagne-au-Perche, Mathurine Robin, fille d'Eustache Robin et de Madeleine Avrard.
Quand son père décède en 1623, Jean Guyon vend la maison familiale de Tourouvre et se fixe à Mortagne, prenant sa mère avec lui. Cette dernière disparaîtra trois ans plus tard. Probablement grâce à un héritage, la famille 'installe dans une plus grande demeure, et la vie continue.
Si Robert Giffard tient à le recruter, c'est sans doute parce qu'il maîtrise son métier, et on ne saurait en douter puisqu'en 1615, on lui confie, en sa qualité de maître-maçon, le soin de doter l'église de Saint-Aubin de Tourouvre d'un escalier d'une trentaine de marches conduisant au clocher. Cet ouvrage peut encore être admiré de nos jours.
Dix ans plus tard, on recourt à ses services pour la restauration des murailles de Mortagne, ce qui témoigne également de la confiance dont il jouissait auprès du procureur syndic des habitants de cette ville. Les fortifications étaient sans doute fort mal en point, car Mortagne avait changé 22 fois de mains pendant les guerres de Religion !
A 42 ans, dix jours après la naissance de son huitième enfant, Jean Guyon va céder aux propositions de Robert Giffard, apothicaire, chantre de l'émigration vers la Nouvelle-France et décide de tout quitter pour "faire, par la grâce de Dieu, colonie au pays de la Nouvelle-France. "
Le 14 mars 1634, Jean Guyon et le pionnier Zacharie Cloutier, s'engagent par un même contrat, à suivre le seigneur Robert Giffard, en Nouvelle-France.
Le 4 juin 1634, le bateau accoste à Québec, puis quitte la basse-ville pour rejoindre la petite rivière de Beauport. Au plus vite, il fallait semer, élever une maison, récolter et s'installer en prévision de l'hiver rigoureux. Zacharie Cloutier et Jean Guyon, tracent près de la rivière DuBuisson, leur premier carré de maison, une maison commune, semble-t-il.
Puis en 1637, Robert Giffard leur concède des fiefs dans sa seigneurie de Beauport. Zacharie Cloutier reçoit l'arrière-fief de la Cloutièrerie et pour Jean Guyon, celle du Buisson, près de la rivière du même nom. Guyon s'attribue à lui-même ce surnom DuBuisson.
Jean Guyon, sieur DuBuisson fait venir, après un peu plus d'un an sa femme, Mathurine Robin et ses enfants.
Jean Guyon est de toutes les fêtes religieuses et populaires. Ainsi, le Journal des Jésuites nous apprend que lors de la Fête-Dieu de 1646, il marche avec un autre migrant percheron célèbre Zacharie Cloutier à la tête de la procession, et que, à l'occasion du mariage de Jean Guyon DuBuisson, le fils aîné du pionnier, avec Elisabeth Couillard, «il y eut deux violons à la noce, ce qui ne s'était pas encore vu au Canada ».
C'est en 1652 que Barbe Guyon et Pierre Paradis arrivent en Nouvelle-France avec leur famille. Jean Guyon et son épouse possèdent toujours leur maison à Mortagne. En 1653, ils la cèdent à la paroisse.
Jean Guyon décède le 30 mai 1663; Mathurine Robin l'avait précédé dans la tombe un an plus tôt le 17 avril 1662.
En 1730, la lignée Guyon compte 2150 personnes, ce qui la place ainsi au premier rang des familles françaises d'Amérique.
Guyon s'est changé en Guion, Dionne, Dion, de là de siècle en siècle, le sang du couple Guyon-Robin coule dans les veines de milliers de personnes au Québec, au Canada et en Amérique du Nord (1). « Soyons fiers de nos racines, car elles ont permis, à de nombreuses personnes d'exister, et de pouvoir donner à nouveau la vie. »
http://leconquet-genealogie-leboitetdurand.over-blog.com/article-32130356.html
Note N444 :
Individus : FAUGERON Sérène
Maire de Saint Georges sur Loire de 1848 à 1869
Note N445 :
Individus : BLIN Henri Auguste Joseph
Acte du 19/NIV/07
Note N446 :
Individus : VALDENAIRE Jean (21084)
On retrouve dans les comptes du receveur du Duc de Lorraine à PLOMBIERES en 1535 une dépense pour le paiement d'un transport de vin de Bourgognee, jusqu'à LUNEVILLE pour le compte de son altesse (ADMM -D2453).
En 1548 les habitants de PLOMBIERES adressent à son Altesse le Duc une supplique afin que soit réactivé un procès très ancien les opposant aux Dames de REMIREMONT. Lambert VALDENAIRE est le premier des signataires.
Le Duc accède à la demande et le procès reprend.
En 1552, 42 témoins représentant la communauté de Plombière sont appelés et pparmis eux Lambert VALDENAIRE, mais aussi Jean VALDENAIRE. Les listes complètes sont reprises dans la famille VALDENAIRE. Aucun autre VALDENAIRE n'apparaît dans les documents que nous avons consultés aus AD, au cours du 16ème siècle, mais notre recherche a été certainement incomplète. A NANCY par exemple, il faudrait éplucher les comptes des receveurs.
Peut-être un autre fils que Jean, Blaison cité en même temps que ce dernier en 1572 (de M. Roland SAUNIER)
Vu au Val d'Ajol 22/12/1634 une naissance de Xemard Thomas Fils Xemard Demange et N... Pierrette le Parrain = VALDENAIRE Nicolas de PLOMBIERES.
Note N447 :
Individus : Barbon (21085)
Marraine le 7/6/1613 Plombières dite Veuve VALDENAIRE Jean
Note N448 :
Individus : VALDENAIRE Lambert (42168)
bourgeois de Plombières. Cité à Plombières en 1535, voiturier, il est payé par le receveur de Plombières pour un transport de vin effectué pour S.A. le duc de Lorraine, en 1548-1552 cité comme témoin à plusieurs reprises dans un procès qui oppose les habitants de Plombières aux abbesses de Remiremont, + av 1573
Note N449 :
Individus : DALBIES Joseph Ponét Ou Ponnait
a émigré en Algérie
Note N450 :
Individus : de SAIRAS de VILLEROI Jacques Antoine
Marquis de Montemar et Montalto
Note N451 :
Individus : DALBIES Jacques
Arrivé au corps le 25/09/1813 comme condamné gracié, Incorporé au 128ième de ligne le 01/10/1813.
SHAT Conscrits réfractaires dépôt de Strasbourg. 23 Yc 264/19042.
Date de naissance exacte inconnue.
http://cabestany.free.fr/soldatpo/chichet.htm
Note N452 :
Individus : LANNE Jacques André Marie Pauline Pierre
Acte du 20/07/1817
Note N453 :
Individus : DALBIES Jean
DALBIES Jean, domestique, ° 12/12/1826 à Toulouges, 66350, fils de Jean et de MESTRES Espérance, incorporé le 17/01/1850. SHAT 45ième Rgt d'infanterie de ligne 34Yc 1980
http://cabestany.free.fr/soldatpo/chichet.htm
Incorporé le 17/01/1850.
SHAT contrôle des troupes 45ème Régiment d'Infanterie de Ligne 34Yc 1980/18283.
Note N454 :
Individus : VALLET Athanase Bonaventure Ou Anastase (206)
Filiation à vérifier
La famille VALLET en Guyane (XVIII° siècle)
Docteur Yves Hervé
(http://www.ghcaraibe.org/bul/ghc035/p0510.html)
Si les demoiselles VALLET n'avaient pas, comme dans la vieille chanson de marine, "armé un bâtiment", originaires de La Rochelle, il est probable qu'elles débarquèrent en Guyane (du moins en ce qui concerne l'aînée) avec leur père, Athanase Bonaventure VALLET, écuyer, contrôleur des guerres, au moment de la dramatique expédition de Kourou, en 1763.
On sait combien fut désastreux le "grand dérangement", pour reprendre l'expression de nos cousins Acadiens. Organisé (si on peut dire !) par TURGOT, frère du futur ministre, avec l'appui de CHOISEUL, tous deux espérant en retirer de substantiels bénéfices, il contribua, avec les déportations politiques de la Révolution et l'instauration du bagne en 1851, à créer pour notre vieille colonie de France Equinoxiale une déplorable réputation : celle de "cimetière des Européens", réputation qui fut longtemps la sienne et qu'elle est pourtant loin de mériter !
Athanase Bonaventure VALLET faisait sans doute partie des "cadres" de l'expédition. Il arrivait avec son épouse Elisabeth CORBUN et, semble-t-il, deux enfants nés à La Rochelle, François et Thérèse VALLET, celle-ci née vers 1760. L'accompagnait également son beau-frère Jean CORBUN, négociant, qui épousa à Cayenne, le 15 avril 1765, une créole, Catherine SIMON, fille de Thoams SIMON, receveur des douanes du Roy, et de Marie Gertrude GOBERT. C'est le premier acte concernant cette famille que j'ai retrouvé sur les registres paroissiaux de Cayenne, ce qui semble donc bien situer leur arrivée à l'époque de l'expédition de Kourou, sans en apporter une certitude absolue. Par contre, nous avons cette certitude concernant un autre
VALLET, Jean Baptiste VALLET de FAYOLLE, sur lequel nous reviendrons un peu plus loin, ce dernier semblant avoir des liens étroits avec la famille VALLET-CORBUN.
Mais revenons sur ce patronyme de "VALLET". l'onomastique nous apprend qu'il n'a pas cette connotation un peu péjorative qu'on lui attribue a priori. Il vient en effet de ces varlets d'armes du Moyen-Age, jouvenceaux qui jouaient le rôle d'écuyers auprès des chevaliers. Il dérive d'ailleurs de "vasselets" : petit vassal, et ce
rôle est toujours illustré de nos jours par les valets de jeux de cartes : Lahire, Ogier, etc. Notons aussi qu'une
commune, sur la route de Nantes à Cholet, porte ce nom.
Une deuxième fille naquit au foyer d'Athanase Bonaventure VALLET et d'Elisabeth CORBUN, le 15 novembre 1766 à Cayenne, et fut prénommée Marie Catherine Elisabeth. Sa soeur aînée et elle (qui se trouvent être toutes deux mes quintaïeules) eurent une vie que l'on peut qualifier d'animée, dignes des luronnes de la chanson à laquelle je faisais allusion au début, et qui peut s'expliquer, sinon s'excuser, par, d'une part, la disparition prématurée de leur père, décédé le 23 septembre 1769 à 45 ans, après une brève carrière dans le négoce local, d'autre part, par la période troublée qu'elles traversèrent, à l'époque de leur épanouissement, la Révolution ayant, en Guyane comme ailleurs, entraîné un certain relâchement des moeurs. Il apparaît alors que Thérèse et Marie-Catherine envoyèrent allègrement leurs bonnets (phrygiens ?) par-dessus les moulins.
Qu'on en juge : Thérèse VALLET épousa d'abord fort sagement un jeune juif converti, Jean François PRUDHOMME, le 28 septembre 1777. Celui-ci, né à Besançon, était fils de Jean PRUDHOMME, banquier de la Compagnie des Indes, et d'Anne Charlotte Sophie de MOREAU. Le mariage devait presser car elle mit au monde un fils, Louis Jérôme PRUDHOMME, né le 6 mai 1778, donc légèrement plus tôt qu'il n'eût été décent. Bientôt veuve, à l'époque du Directoire, quelques années plus tard, elle fit la connaissance de Jean LEMBERTH, sous lieutenant au bataillon national de la Guyane, ci-devant 2° bataillon du 53° régiment, né en Sarre, à Blickweiller, duché des Deux-Ponts, et elle en eut une fille, Anne Thérèse, née le 1° décembre 1796 et reconnue par le père, qu'elle épousa six mois plus tard, le 22 mai 1797. Sa jeune soeur, Marie Catherine VALLET, suivit l'exemple de son aînée et donna le jour, le 30 septembre 1798, à Marie Joséphine VALLET, née de père inconnu. Elle épousa le 1° juillet 1801 Martial BLONDIN, maître menuisier, fils de Jean BLONDIN et de Marie Anne DUBOIS, dont, profitant des nouvelles lois républicaines, elle divorça en 1802.
Leur frère, François VALLET, marié le 12 juin 1792 à Catherine CHARNAL, en eut une fille, Louise Elisabeth VALLET, née le 12 avril 1793, et... divorça le 1° octobre 1798.
Nous voyons que, sur le plan de la liberté des moeurs, cette époque n'avait rien à envier à la nôtre !
Parallèlement à l'existence des demoiselles VALLET, se déroulait à Cayenne et à Roura celle de leur proba-
blement proche parent Jean Baptiste Marie VALLET de FAYOLLE. Celui-ci, né à Marennes, fils de Pierre VALLET de SALIGNAC, écuyer, conseiller contrôleur des guerres, seigneur de Maul, Laperuzade, Luzac et autres lieux, et de dame Jeanne Elisabeth VOLLAND, fut commis principal de la comptabilité de Cayenne en 1765, officier de milice en 1769, puis député de Roura en 1777 à une Assemblée coloniale réunie à l'intitiative de MALOUET. Il mourut à Paris le 14 janvier 1785, après avoir effectué des travaux sur la boussole et la force de l'aimant.
Il avait épousé à Cayenne :
ax 25 juin 1765 Marie LEBLANC, native de Bayonne, fille de Pierre LEBLANC et demoiselle ROU
A ce mariage, étaient témoins Athanase Bonaventure VALLET (son oncle ?) et Jean CORBUN.
bx 2 décembre 1769 Marie LEMOYNE, fille de Jean LEMOYNE et de Marie MARTELLI.
témoins : de LA RIVIèRE, CORBUN.
Jean Baptiste Marie VALLET de FAYOLLE semble avoir été un personnage assez turbulent, si on en juge par une correspondance du 6 octobre 1765, trois pages que je résume ici :
Il se réclame d'abord des services rendus par sa famille : ses deux grands-pères VALLET et VOLLAND, chargés des fournitures, voiles et chanvres de la Marine; son père, resté deux ans à Riga pour ses fournitures, et ancien Directeur général des gabelles; son oncle VALLET de LA TOUCHE a eu la fourniture générale des vivres de l'armée d'Italie; il a deux soeurs mariées, l'une avec Monsieur de LAIGNER, frère du Commandant de la Marine à Rochefort, l'autre avec le fils de LA FORGE, maréchal des camps et armées de Sa Majesté. Il explique que son père, par "un zèle mal entendu des landes de Bordeaux à Bayonne" l'a réduit à passer dans cette colonie, dont il critique vivement les habitants (les membres de l'expédition de Kourou avaient été fort mal accueillis par les anciens colons). Il les traite de paresseux, peu industrieux et semblables aux "grenouilles qui demandent un roi". Pour conclure, il demande au ministre de lui avancer 6.000 écus ! ... Il est douteux qu'il ait obtenu satis- faction ! Détail amusant : dans cette correspondance, il est fait allusion à son oncle VALLET de LA TOUCHE. Le hasard d'une lecture m'apprend que celui-ci avait épousé la plus jeune des trois filles que le richissime financier Samuel BERNARD avait eues de sa maîtresse en titre, Madame FONTAINE. Elle était fort belle, mariée à 17 ans et, profitant des longues absences de son mari, qui, nous l'avons vu, était chargé de la fourniture des vivres à l'armée d'Italie, elle devint la maîtresse d'un lord anglais, le duc de KINGSTON, grand ami de BUFFON, tandis que ses soeurs étaient, l'une, Madame d'ARTY, maîtresse du prince de CONTI, l'autre, Madame DUPIN de FRANCUEIL, protectrice de Jean Jacques ROUSSEAU. Revenant d'Italie après deux ans d'absence, M. VALLET de LA TOUCHE n'apprécia guère la situation, d'autant que son épouse s'enfuit en Angleterre avec son Milord, affaire dont le tout Paris des salons fit des gorges chaudes. Cet intermède nous a quelque peu éloigné de la Guyane. Quel était le lien de parenté entre les deux frères VALLET de LA TOUCHE et de SALIGNAC et Athanase Bonaventure VALLET, qui nous intéresse plus directement ? Peut-être étaient-ils frères, ou tout au moins cousins. Plaide en faveur de cette hypothèse le fait que Jean Baptiste VALLET de FAYOLLE fut le tuteur de Marie Thérèse VALLET devenue orpheline. Mais était-ce bien là le mentor qui convenait à cette jeune personne un peu trop délurée ?
Sources : - Registres de catholicité et d'état civil de Cayenne - CARAN : Colonies C/14 (sur VALLET de FAYOLLE) - Notariat de Cayenne : M° Paguenaud - "La Guyane 1604-1946" Docteur A. Henry Guyane Presse Diffusion - "Buffon" Jacques Roger Fayard
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