Liste des sources

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Note N455 :

Individus : VALLET Marie Anne "Thérèse"
Débarque en Guyane en 1763

 

Note N456 :

Individus : LEMBERT Thérèse Anne
LALANNE DE St QUENTIN

 

Note N457 :

Individus : LALANNE Joseph Célestin
LALANNE DE St QUENTIN

 

Note N458 :

Individus : LALANNE Joseph Célestin
LALANNE DE St QUENTIN

 

Note N459 :

Individus : CHAUVIN Thérèse Anne
LALANNE DE St QUENTIN

 

Note N460 :

Individus : VALLET Pierre
Seigneur de la Brande, greffier en chef de la juridiction consulaire de Saintes, négociant et entrepreneur pour la fourniture des gabelles et pour la marine, conseiller secrétaire du Roi en la Grande Chancellerie

 

Note N461 :

Individus : DEVIE Françoise
BOUGRIER Nicole
CGS

BOUGRIER Nicole
CGS

 

Note N462 :

Individus : VALLET Pierre (1648)
Seigneur de la Touche

 

Note N463 :

Individus : VALLET de SALIGNAC Pierre
Pierre Vallet de Salignac, a fait fortune dans le sel à Marennes, et rachète le 5 juillet 1736 la terre et la seigneurie charentaise de Mons. Il y reconstruira le château. Il y est conseiller du Roi, contrôleur des guerres et greffier en chef de la bourse de Saintes.
Seigneur de Maul, Laperuzade, Luzac

 

Note N464 :

Individus : VALLET de la TOUCHE Nicolas
Vicomte de Marennes
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2139957/f250
Greffier de la juriduction consulaire de Saintes, Conseiller secrétaire du Roi, Maison et Couronne de France (1733)

 

Note N465 :

Individus : PINAUD de la PUISADE Marie Anne
BOUGRIER Nicole
CGS

 

Note N466 :

Individus : VALLET de SALIGNAC Nicolas Thérèse
Nicolas-Thérèse Vallet de Salignac est un homme politique français né le 16 mars 1732 à Marennes et décédé le 30 octobre 1812 à Royan.
Son père, Pierre Vallet de Salignac, a fait fortune dans le sel à Marennes, et rachète le 5 juillet 1736 la terre et la seigneurie charentaise de Mons. Il y reconstruit le château. Il y est conseiller du roi, contrôleur des guerres et greffier en chef de la bourse de Saintes.
Nicolas-Thérèse Vallet de Salignac, est le fils aîné et porte le titre de : écuyer, seigneur de Mons en Royan, de la Petite Forêt et autres lieux.
D'après un document sur l'élection des notables, il est le premier maire de Royan le 4 février 1790.
Fin novembre 1790, il abandonne son poste de maire, pour être le premier juge de paix et officier de police élu de Royan.
Il démissionne de ce poste en 1792. Il survit à la Terreur et on retrouve sa trace en juin 1803 parmi les personnes les plus imposées du département.
Il conserve sa fortune et son château ; sa fille, Angélique Salignac, le transmet à son mari et futur maire de Royan à la restauration : Raymond de Labarthe

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas-Th%C3%A9r%C3%A8se_Vallet_de_Salignac

 

Note N467 :

Individus : VALLET Anne
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N468 :

Individus : VALLET Charles
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N469 :

Individus : VALLET Charles
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N470 :

Individus : VALLET François "Mathurin"
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N471 :

Individus : VALLET François
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N472 :

Individus : VALLET Jean
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N473 :

Individus : VALLET Jeanne
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N474 :

Individus : VALLET Radegonde
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N475 :

Individus : VALLET Radegonde
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N476 :

Individus : VALLET Radegonde
Mère Radegonde Vallet, Supérieure de l'hôpital de Beaufort

 

Note N477 :

Individus : VALLET de FAYOLLE Jean Baptiste Marie
LALANNE DE St QUENTIN

 

Note N478 :

Individus : VALLET de FAYOLLE Jean Baptiste Marie
Arrivé au dépôt de St Jean d'Angély le 06/10/1763, reparti pour Cayenne le 08/11/1763
Député de Roura à l'assemblée coloniale, travaux sur la boussole et la force de l'aimant
Cité au recensement de Sinnamary en 1767
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Voici l'essentiel sur l'ascendance de Jean Baptiste Marie VALLET de FAYOLLE, évoqué dans l'article, mais dont la parenté avec Athanase Bonaventure reste inconnue :
Il s'agit d'une branche de la famille VALLET de VILLENEUVE, originaire de Beaufort en Vallée, en Maine-et-Loire, qui s'établit ensuite à Marennes puis Saintes où Pierre VALLET sieur de la BRANDE (1661-1740), Voici l'essentiel sur l'ascendance de Jean Baptiste Marie VALLET de FAYOLLE, évoqué dans l'article, mais dont la parenté avec Athanase Bonaventure reste inconnue :
Il s'agit d'une branche de la famille VALLET de VILLENEUVE, originaire de Beaufort en Vallée, en Maine-et-Loire, qui s'établit ensuite à Marennes puis Saintes où Pierre VALLET sieur de la BRANDE (1661-1740), greffier en
chef de la juriction consulaire, négociant et entrepreneur pour la fourniture des gabelles et pour la Marine, intéressé dans les sels de Brouage, secrétaire du roi, eut de Françoise DEVIC deux fils, Nicolas VALLET de la TOUCHE,
dont descendent les VALLET de VILLENEUVE (famille subsistante) et Pierre VALLET de SALIGNAC.Ce dernier, greffier en chef de la bourse de Saintes, contrôleur des guerres, receveur des finances du duc d'Orléans, fit faillite en 1762. Il avait épousé en
premières noces (1729) Marie Anne PINARD de la PUISADE,dont un fils (son nom n'est pas donné dans les généalogies de la famille), et en secondes noces Marie Jeanne
Elisabeth VOLLAND, soeur de Sophie VOLLAND, la correspondante maîtresse de DIDEROT, fille du directeur général du fournissement des gabelles. De cette seconde union est
issu Jean Baptiste VALLET de FAYOLLE (o Marennes 1739). Le départ vers la Guyane de Jean Baptiste Marie et d'Athanase Bonaventure (frère? cousin? ) en 1763 doit être ié à la faillite de 1762, après que la famille ait dominé
le commerce du sel en Saintonge pendant un demi-siècle.
Sources :
- B. Mayaud "11° recueil de généalogies angevines"
- Ch. Favre Lejeune "Les secrétaires du roi" p. 1277 , intéressé dans les sels de Brouage, secrétaire du roi, eut de Françoise DEVIC deux fils, Nicolas VALLET de la TOUCHE, dont descendent les VALLET de VILLENEUVE (famille subsistante) et Pierre VALLET de SALIGNAC. Ce dernier, greffier en chef de la bourse de Saintes, contrôleur des guerres, receveur des finances du duc d'Orléans, fit faillite en 1762. Il avait épousé en premières noces (1729) Marie Anne PINARD de la PUISADE,dont un fils (son nom n'est pas donné dans les généalogies de la famille), et en secondes noces Marie Jeanne Elisabeth VOLLAND, soeur de Sophie VOLLAND, la correspondante maîtresse de DIDEROT, fille du directeur général du fournissement des gabelles. De cette seconde union est issu Jean Baptiste VALLET de FAYOLLE (o Marennes 1739). Le départ vers la Guyane de Jean Baptiste Marie et d'Athanase Bonaventure (frère? cousin? ) en 1763 doit être ié à la faillite de 1762, après que la famille ait dominé le commerce du sel en Saintonge pendant un demi-siècle.
Sources :
- B. Mayaud "11° recueil de généalogies angevines"
- Ch. Favre Lejeune "Les secrétaires du roi" p. 1277
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Valet de Fayolles, auteur dramatique
Une fois de plus l'Intermédiaire n'aura pas failli à sa mission : comme le Solitaire, il voit tout, entend tout, est partout. Voilà juste dix ans que je cherchais, sans la retrouver, la trace du Sultan généreux, qui avait passé en 1876 sur un catalogue de la librairie Baillieu, car, au rebours de Fog, si je ne connais pas la pièce, j'ai sur l'auteur des rensei gnements précis. Jean-Marie Vallet de Fayolle (c'est ainsi qu'il signait) est le propre (neveu de Melle Volland. Fils de Pierre Vallet de Salignac, seigneur de Mons en Royan, contrôleur ordinaire des guerres, et de dame Marie-Jeanne-Elisabeth Volland, il était né à Marennes, le 8 octobre 173o. A la suite de déborde ments de jeunesse, il passa à Cayenne, oit il rendit des services que Malouet s'est plu à constater, et où il se maria, Revenu au pays natal en 1784, il s'apprêtait à soumettre à l'Académie des sciences un modèle de boussole invariable qu'il avait inventée, lorsqu'il mourut, à Paris, le 14 janvier 1785, laissant une veuve sans en fant, mais dans une situation assez pré caire. C'est donc à Cayenne qu'il écrivit la bouffonnerie que Fog a entre les mains, et avec cette indication le nom du cap que celui-ci ne peut déchiffrer sera peut-être plus lisible. Il va sans dire que je tiens A sa disposition le volumineux dossier d'où j'ai extrait les renseignements résumés plus haut.
MAURICE TOMME.
Source: L'Intermédiaire des chercheurs et curieux : questions et réponses, communications diverses à l'usage de tous, littérateurs et gens du monde, artistes, bibliophiles, archéologues, généalogistes, etc. Edité en 1886
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La famille VALLET en Guyane (XVIII° siècle)
Docteur Yves Hervé
(http://www.ghcaraibe.org/bul/ghc035/p0510.html)
Si les demoiselles VALLET n'avaient pas, comme dans la vieille chanson de marine, "armé un bâtiment", originaires de La Rochelle, il est probable qu'elles débarquèrent en Guyane (du moins en ce qui concerne l'aînée) avec leur père, Athanase Bonaventure VALLET, écuyer, contrôleur des guerres, au moment de la dramatique expédition de Kourou, en 1763.
On sait combien fut désastreux le "grand dérangement", pour reprendre l'expression de nos cousins Acadiens. Organisé (si on peut dire !) par TURGOT, frère du futur ministre, avec l'appui de CHOISEUL, tous deux espérant en retirer de substantiels bénéfices, il contribua, avec les déportations politiques de la Révolution et l'instauration du bagne en 1851, à créer pour notre vieille colonie de France Equinoxiale une déplorable réputation : celle de "cimetière des Européens", réputation qui fut longtemps la sienne et qu'elle est pourtant loin de mériter !
Athanase Bonaventure VALLET faisait sans doute partie des "cadres" de l'expédition. Il arrivait avec son épouse Elisabeth CORBUN et, semble-t-il, deux enfants nés à La Rochelle, François et Thérèse VALLET, celle-ci née vers 1760. L'accompagnait également son beau-frère Jean CORBUN, négociant, qui épousa à Cayenne, le 15 avril 1765, une créole, Catherine SIMON, fille de Thoams SIMON, receveur des douanes du Roy, et de Marie Gertrude GOBERT. C'est le premier acte concernant cette famille que j'ai retrouvé sur les registres paroissiaux de Cayenne, ce qui semble donc bien situer leur arrivée à l'époque de l'expédition de Kourou, sans en apporter une certitude absolue. Par contre, nous avons cette certitude concernant un autre
VALLET, Jean Baptiste VALLET de FAYOLLE, sur lequel nous reviendrons un peu plus loin, ce dernier semblant avoir des liens étroits avec la famille VALLET-CORBUN.
Mais revenons sur ce patronyme de "VALLET". l'onomastique nous apprend qu'il n'a pas cette connotation un peu péjorative qu'on lui attribue a priori. Il vient en effet de ces varlets d'armes du Moyen-Age, jouvenceaux qui jouaient le rôle d'écuyers auprès des chevaliers. Il dérive d'ailleurs de "vasselets" : petit vassal, et ce
rôle est toujours illustré de nos jours par les valets de jeux de cartes : Lahire, Ogier, etc. Notons aussi qu'une
commune, sur la route de Nantes à Cholet, porte ce nom.
Une deuxième fille naquit au foyer d'Athanase Bonaventure VALLET et d'Elisabeth CORBUN, le 15 novembre 1766 à Cayenne, et fut prénommée Marie Catherine Elisabeth. Sa soeur aînée et elle (qui se trouvent être toutes deux mes quintaïeules) eurent une vie que l'on peut qualifier d'animée, dignes des luronnes de la chanson à laquelle je faisais allusion au début, et qui peut s'expliquer, sinon s'excuser, par, d'une part, la disparition prématurée de leur père, décédé le 23 septembre 1769 à 45 ans, après une brève carrière dans le négoce local, d'autre part, par la période troublée qu'elles traversèrent, à l'époque de leur épanouissement, la Révolution ayant, en Guyane comme ailleurs, entraîné un certain relâchement des moeurs. Il apparaît alors que Thérèse et Marie-Catherine envoyèrent allègrement leurs bonnets (phrygiens ?) par-dessus les moulins.
Qu'on en juge : Thérèse VALLET épousa d'abord fort sagement un jeune juif converti, Jean François PRUDHOMME, le 28 septembre 1777. Celui-ci, né à Besançon, était fils de Jean PRUDHOMME, banquier de la Compagnie des Indes, et d'Anne Charlotte Sophie de MOREAU. Le mariage devait presser car elle mit au monde un fils, Louis Jérôme PRUDHOMME, né le 6 mai 1778, donc légèrement plus tôt qu'il n'eût été décent. Bientôt veuve, à l'époque du Directoire, quelques années plus tard, elle fit la connaissance de Jean LEMBERTH, sous lieutenant au bataillon national de la Guyane, ci-devant 2° bataillon du 53° régiment, né en Sarre, à Blickweiller, duché des Deux-Ponts, et elle en eut une fille, Anne Thérèse, née le 1° décembre 1796 et reconnue par le père, qu'elle épousa six mois plus tard, le 22 mai 1797. Sa jeune soeur, Marie Catherine VALLET, suivit l'exemple de son aînée et donna le jour, le 30 septembre 1798, à Marie Joséphine VALLET, née de père inconnu. Elle épousa le 1° juillet 1801 Martial BLONDIN, maître menuisier, fils de Jean BLONDIN et de Marie Anne DUBOIS, dont, profitant des nouvelles lois républicaines, elle divorça en 1802.
Leur frère, François VALLET, marié le 12 juin 1792 à Catherine CHARNAL, en eut une fille, Louise Elisabeth VALLET, née le 12 avril 1793, et... divorça le 1° octobre 1798.
Nous voyons que, sur le plan de la liberté des moeurs, cette époque n'avait rien à envier à la nôtre !

Parallèlement à l'existence des demoiselles VALLET, se déroulait à Cayenne et à Roura celle de leur proba-
blement proche parent Jean Baptiste Marie VALLET de FAYOLLE. Celui-ci, né à Marennes, fils de Pierre VALLET de SALIGNAC, écuyer, conseiller contrôleur des guerres, seigneur de Maul, Laperuzade, Luzac et autres lieux, et de dame Jeanne Elisabeth VOLLAND, fut commis principal de la comptabilité de Cayenne en 1765, officier de milice en 1769, puis député de Roura en 1777 à une Assemblée coloniale réunie à l'intitiative de MALOUET. Il mourut à Paris le 14 janvier 1785, après avoir effectué des travaux sur la boussole et la force de l'aimant.
Il avait épousé à Cayenne :
ax 25 juin 1765 Marie LEBLANC, native de Bayonne, fille de Pierre LEBLANC et demoiselle ROU
A ce mariage, étaient témoins Athanase Bonaventure VALLET (son oncle ?) et Jean CORBUN.
bx 2 décembre 1769 Marie LEMOYNE, fille de Jean LEMOYNE et de Marie MARTELLI.
témoins : de LA RIVIèRE, CORBUN.
Jean Baptiste Marie VALLET de FAYOLLE semble avoir été un personnage assez turbulent, si on en juge par une correspondance du 6 octobre 1765, trois pages que je résume ici :
Il se réclame d'abord des services rendus par sa famille : ses deux grands-pères VALLET et VOLLAND, chargés des fournitures, voiles et chanvres de la Marine; son père, resté deux ans à Riga pour ses fournitures, et ancien Directeur général des gabelles; son oncle VALLET de LA TOUCHE a eu la fourniture générale des vivres de l'armée d'Italie; il a deux soeurs mariées, l'une avec Monsieur de LAIGNER, frère du Commandant de la Marine à Rochefort, l'autre avec le fils de LA FORGE, maréchal des camps et armées de Sa Majesté. Il explique que son père, par "un zèle mal entendu des landes de Bordeaux à Bayonne" l'a réduit à passer dans cette colonie, dont il critique vivement les habitants (les membres de l'expédition de Kourou avaient été fort mal accueillis par les anciens colons). Il les traite de paresseux, peu industrieux et semblables aux "grenouilles qui demandent un roi". Pour conclure, il demande au ministre de lui avancer 6.000 écus ! ... Il est douteux qu'il ait obtenu satis- faction ! Détail amusant : dans cette correspondance, il est fait allusion à son oncle VALLET de LA TOUCHE. Le hasard d'une lecture m'apprend que celui-ci avait épousé la plus jeune des trois filles que le richissime financier Samuel BERNARD avait eues de sa maîtresse en titre, Madame FONTAINE. Elle était fort belle, mariée à 17 ans et, profitant des longues absences de son mari, qui, nous l'avons vu, était chargé de la fourniture des vivres à l'armée d'Italie, elle devint la maîtresse d'un lord anglais, le duc de KINGSTON, grand ami de BUFFON, tandis que ses soeurs étaient, l'une, Madame d'ARTY, maîtresse du prince de CONTI, l'autre, Madame DUPIN de FRANCUEIL, protectrice de Jean Jacques ROUSSEAU. Revenant d'Italie après deux ans d'absence, M. VALLET de LA TOUCHE n'apprécia guère la situation, d'autant que son épouse s'enfuit en Angleterre avec son Milord, affaire dont le tout Paris des salons fit des gorges chaudes. Cet intermède nous a quelque peu éloigné de la Guyane. Quel était le lien de parenté entre les deux frères VALLET de LA TOUCHE et de SALIGNAC et Athanase Bonaventure VALLET, qui nous intéresse plus directement ? Peut-être étaient-ils frères, ou tout au moins cousins. Plaide en faveur de cette hypothèse le fait que Jean Baptiste VALLET de FAYOLLE fut le tuteur de Marie Thérèse VALLET devenue orpheline. Mais était-ce bien là le mentor qui convenait à cette jeune personne un peu trop délurée ?
Sources : - Registres de catholicité et d'état civil de Cayenne - CARAN : Colonies C/14 (sur VALLET de FAYOLLE) - Notariat de Cayenne : M° Paguenaud - "La Guyane 1604-1946" Docteur A. Henry Guyane Presse Diffusion - "Buffon" Jacques Roger Fayard

 

Note N479 :

Individus : BENOIST Jacqueline ou Jacquette
Citée dans le recensement de 1686 de Port Royal

 

Note N480 :

Individus : ROECKEL Jean Pierre
Officier de la légion d'honneur

 

Note N481 :

Individus : GONTARD de LAUNAY Gabrielle
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N482 :

Individus : LE BLANC Marie
Citée au recensement de Sinnamary en 1767

 

Note N483 :

Individus : RIVIERE Marie
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N484 :

Individus : VALLET Marie
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N485 :

Individus : VALLET de LA BOIRE Charles
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N486 :

Individus : VALLET de LA BOIRE Charles
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N487 :

Individus : VALLET de LA BOIRE Jean
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N488 :

Individus : VALLET de LA BOIRE Marguerite
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N489 :

Individus : VALLET de LA BOIRE Radégonde
Scevole de LIVONNIERE
Geneanet

 

Note N490 :

Individus : PARSEL Louise Cornélie "Léontine"
Déclaration le 24/02/1852

 

Note N491 :

Individus : PARSEL Jean Frédéric Léon
Déclaration le 01/03/1848

 

Note N492 :

Individus : SIMON Marie "Catherine"
Créole

 

Note N493 :

Individus : GUILLAUME DE FONTAINE Françoise Thérèse
II. FRANÇOISE-THÉRÈSE DE FONTAINE (12 mars 1712-21 avril 1765) , fille de Marie-Anne-Armande Carton, épousa le 12 mai 1729 Nicolas Vallet, seigneur de la Touche, né à Marennes le 19 mai 1698, secrétaire du Roi le 6 octobre 1741, fils de Pierre Vallet seigneur de la Brande et de Françoise Dévie ou Devie.
http://www.geneanet.org/archives/ouvrages/index.php?action=detail&livre_id=428309&page=93&book_type=livre&search_type=livre&name=SCHIERVEL&tk=9d4ff7777318b61a

 

Note N494 :

Individus : GUILLAUME DE FONTAINE Louise Marie Madeleine Dite "Laure"
Père présumé: le financier Samuel BERNARD
http://artemis.austincollege.edu/acad/cml/cmanley/home/Research.htm

 

Note N495 :

Individus : DUPIN de CHENONCEAUX Claude
http://theses.enc.sorbonne.fr/document107.htm
Fermier général, il est le fils d'un receveur des tailles de la ville de Châteauroux. Après des études au collège de Blois et un passage de quelques années dans l'armée comme lieutenant d'infanterie au régiment de Noailles, il fait ses débuts dans la finance provinciale, en reprenant en 1714 la charge de son père, et contracte un premier mariage avec la fille d'un élu de Châteauroux ; un fils naîtra de cette union, le futur Dupin de Francueil, grand-père de George Sand. En 1722, une rencontre décisive avec Samuel Bernard lui ouvre les portes des milieux financiers de la capitale. A l'instigation du banquier parisien dont il s'est fait un allié puissant, il est nommé receveur général des finances de Metz et d'Alsace. Il épouse en secondes noces la fille illégitime de son protecteur, Louise-Marie-Madeleine Fontaine ; elle lui donnera un second fils, Jacques-Armand, futur Dupin de Chenonceaux, dont la triste réputation sera rapportée par Rousseau au livre VII des Confessions. En 1726, une nouvelle intervention de son beau-père vaut à Dupin l'attribution de l'une des quarante places très convoitées de fermier général du roi. Samuel Bernard est son bailleur de fonds. Agé de quarante ans, soit sensiblement plus jeune que la moyenne d'âge de ses collègues, Dupin bénéficie déjà d'une bonne expérience en matière de finances et de fiscalité grâce à ses charges de receveur particulier de l'élection de Châteauroux et à ses fonctions de receveur général de Metz et d'Alsace. Fermier pendant trente-six ans, envoyé en tournée dans le Royaume pendant quatorze ans et membre pendant près de douze ans du Comité des caisses, instance dirigeante de la Ferme, il mène une carrière longue et exemplaire au sein de l'institution. Il est particulièrement reconnu pour sa conscience professionnelle, ses compétences fiscales, sa grande culture économique et ses connaissances techniques dans divers secteurs d'activité de la ferme. Il s'illustre notamment par son action en Alsace et dans les Trois Evêchés, et par son influence à la Régie du tabac et à la Régie des grandes gabelles. Il est d'ailleurs sollicité par Diderot et d'Alembert pour rédiger l'article « salines » de l'Encyclopédie, dans lequel il expose avec précision les processus de production et d'extraction du sel.

 

Note N496 :

Individus : HÉBERT Antoine (6302)
Arrivé en Acadie en 1640

 

Note N497 :

Individus : LEBLANC Daniel (6300)
LE BLANC, Daniel, came from France with his wife, according to ten depositions: five from his great-grandsons (Doc. inéd., Vol. III, pp. 42, 48, 50, 88, 117), four from his great-great-grandsons (ibid., Vol. II, p. 189; Vol. III, pp. 55, 115, 120), and one from the husband of one of his great-great-granddaughters (ibid., Vol. III, p. 54). An eleventh, from his great-grandson Honoré LeBlanc, but in which his grandson Joseph LeBlanc dit Le Maigre seems to have collaborated (ibid., Vol. II, p. 170), adds that this wife was Daniel’s second, and that she and her husband had brought with them Marie LeBlanc, the daughter of Daniel’s first marriage. Unfortunately, none of the eleven depositions that speak of her French origin mentions this wife’s name, but Françoise Gaudet is shown to have been Daniel LeBlanc’s wife by four Acadian censuses (see DGFA-1, p. 666). Father Archange Godbout proved through an analysis of various marriage dispensations in an article published in 1952 (“Daniel Leblanc,” SGCF, Vol. V, pp. 4-9) that the first marriage was actually Françoise Gaudet’s, and that while her daughter was indeed named Marie, she was Marie Mercier, and not Marie LeBlanc.

 

Note N498 :

Individus : GAUDET Marie "Françoise" (6301)
GAUDET, Françoise, came from France with her husband Daniel LeBlanc, according to ten depositions: five from her great-grandsons (Doc. inéd., Vol. III, pp. 42, 48, 50, 88, 117), four from her great-great-grandsons (ibid., Vol. II, p. 189; Vol. III, pp. 55, 115, 120), and one from the husband of one of her great-great-granddaughters (ibid., Vol. III, p. 54). An eleventh, from her great-grandson Honoré LeBlanc, but in which her grandson Joseph LeBlanc dit Le Maigre seems to have collaborated (ibid., Vol. II, p. 170), adds that she was Daniel’s second wife, and that she and her husband had brought with them Marie LeBlanc, the daughter of Daniel’s first marriage. Father Archange Godbout proved through an analysis of various marriage dispensations in an article published in 1952 (“Daniel Leblanc,” SGCF, Vol. V, pp. 4-9) that the first marriage was actually Françoise Gaudet’s, and that while her daughter was indeed named Marie, she was Marie Mercier, and not Marie LeBlanc. Unfortunately, none of the eleven depositions that speak of her French origin mentions Françoise’s name, but she is shown to have been Daniel LeBlanc’s wife by four Acadian censuses (see DGFA-1, p. 666).

 

Note N499 :

Individus : DAGUILHON-PUJOL Raymond Louis "Charles"
A l'image de son père, il était entré dans la magistrature et y avait accompli une très belle carrière, peut-être favorisée par le nom qu'il portait. En 1855 il était déjà procureur impérial à Foix (C'est là que naquit le 11 mai 1855 son fils Georges, Louis, Charles qui devint par la suite avocat à Paris, élu municipal de 1894 à 1896. Il est décédé à Paris le 16 mai 1905. ), en 1862 il était procureur impérial à Bordeaux et chevalier de la Légion d'Honneur et en 1868, à l'âge de 44 ans il occupait le siège de Premier Président de la Cour Impériale de Pau après en avoir été le Procureur Général Impérial et arborait la rosette d'officier de la Légion d'Honneur. Il avait eu lui aussi, à un moindre degré que son père, le goût de la politique et avait été élu conseiller général du Tarn, dont il fut, à diverses reprises, le Président du Conseil Général.
Extrait de "UN NOTABLE DAUMAZANAIS, LE LIEUTENANT COLONEL GUSTAVE CHARLES DAGUILHON PUJOL PROPRIETAIRE DU DOMAINE DES CAZALERES, ANCIEN MAIRE 1870-1936", par Bernard Chemin, 1996
http://www.daumazan-sur-arize.fr/IMG/pdf/Gustave_Charles_DAGUILHON_PUJOL.pdf

 

Note N500 :

Individus : SARDA Marc
cité dans l'acte de bapême de Thérèse Bernard, 2126798 / 282

 

Note N501 :

Individus : SALE Jean Jacques
Cité dans l'acte de baptême de Catherine Galau à Rabouillet le 29/6/1675 ref 2126798 / 288

 

Note N502 :

Individus : PAILLARES Jeanne
Citée comme marraine dans l'acte de baptême de Marc Truillet ref 2126798/ 288

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