Liste des sources

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Note N785 :

Individus : de SAXE Alphaïde (505201832193, 505201833009)
Concubine
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alpa%C3%AFde

 

Note N786 :

Individus : de TRÈVES Rotrude (252600916097, 252600916505)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Rotrude_(femme_de_Charles_Martel)

 

Note N787 :

Individus : JADELOT Félix Antoine
Médecin de l'empereur Napoléon III

 

Note N788 :

Individus : de MOSELLANE Arnould (2020807328768, 2020807332032)
0614 À 0629 Evêque de Metz.
Bien que laïc, Arnould a été Évêque de Metz. Il a été cannonisé et sa fête a été fixée au 18 juillet. Il fut le précepteur du roi Dagobert premier puis il se fit ermite. Par son fils: Ansegisel D'Armould et son petit-fils Pépin d'Héristal, il est l 'ancêtre des Carolingiens.

 

Note N789 :

Individus : Clotaire 1er Le Vieux (Mérovingiens) (8083229312304, 16166458656258)
CLOTAIRE en 558 Roi des Francs.
Mort durant une expédition contre les Burgondes le 21 Juin 521 à Vézeronze, Clodomir, le deuxième fils de Clovis, laisse à sa veuve et à ses enfants le royaume d'Orléans. Pour s'emparer du royaume de Clodomir, ses frères Childebert 1er et Clotaire 1er décident de se débarrasser des petits neveux Gonthaire et Théodebald (Clodoald ayant réussi à s'échapper). Théodebert 1er succède à son père Thierry 1er, roi d'Austrasie en 534. Son fils Théodebald, lui succèdera de 548 jusqu'à sa mort en 554. Clotaire 1er récupèrera le royaume d'Orléans peu convoité par Childebert 1er qui considère ces terres trop exposées aux saxons.
En 558, Childebert 1er meurt laissant l'intégralité du royaume Franc reconstitué à Clotaire 1er. Rongé de remords par toutes les exactions qu'il a du commettre pour atteindre ses fins, il dilapide une bonne part de ses biens au profit des pauvres, des Églises et des Monastères.
En 561, Clotaire meurt à Compiègne et est inhumé à Paris en l'Église Saint- Médard où repose aussi le corps du Saint-homme décédé en 545. Un des fils de Clotaire 1er, Sigebert 1er, sera aussi inhumé dans cette Église en 575. Le royaume de Franc sera à nouveau partagé entre ses quatre fils légitimes : Chilpéric 1er hérite de la Neustrie, Sigebert 1er de l'Austrasie, Caribert de Paris et Gontran des royaumes d'Orléans et de Bourgogne.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Clotaire_Ier

 

Note N790 :

Individus : de POITIERS Radegonde Arégonde Arnegonde (8083229312305, 16166458656259)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Radegonde
Une des 6 épouses connues, mére de Chilpéric 1er et arrière grand-mère de Dagobert 1er.
Sainte Radegonde

 

Note N791 :

Individus : VILLEROY Ursule Charlotte Ou Caroline (91)
Liaison avec son cousin,fils du sénateur Emmery (un des fils de Jean Louis Claude EMMERY comte de Grozyeulx, probablement Jacques Nicolas Jean, l'autre fils étant décédé avant la naissance de Ursule Charlotte Villeroy fille)
-----------------------------------------------------------------------------
De : Alain BEAULIEU [mailto:albeaulieu@wanadoo.fr]
Envoyé : mardi 23 janvier 2007 16:10
À : genealogie.dalbiez@free.fr
Objet : Re: Ursule Charlotte Villeroy
Monsieur
Mes recherches sur les « VILLEROY » remontent à prés de 7 ans et ont eut lieu :
Archives départementales de Metz
Centre de généalogie de France, rue Turbigo à Paris
A Metz j’ai consulté :
Les documents Généalogiques XI de J.J.BARBE
Il indique que la fille de Alexis Villeroy et de M.Catherine Emmery se prénomme Charlotte Ursule ° 1788, + 09/11/1861 à Metz et est célibataire.
Le Grand Armorial de France tome 3 de Jongla de Morenas
Il indique qu’elle s’appelle Caroline( avec la même °) et, célibataire, elle a eut une liaison avec le fils du sénateur Emmery. Il lui attribue une fille nommée Madi Proth ( pourquoi ?, je ne sais pas)
J’ai alors cherché Proth dans le livre de J.J.Barbe et voici ce que j’ai trouvé :
Joseph Edmond Alphonse PROTH, secrétaire en chef de la mairie
° 14/08/1807 à Longuyon (54) + 03/02/1885 à Metz
X 17/10/1837 à Metz
Ursule Charlotte Villeroy
° 23/03/1817 à Paris + 03/02/1885 à Metz ( même jour que son mari ?)
6 enfants :
Paul ° 01/10/1838 à Longuyon, chef d’escadron d’artillerie
Louis Edmond ° 19/04/1840 à Longuyon, archiviste municipal
Charles Prosper Henry ° 10/04/1841 à Longuyon, capitaine d’infanterie
Joseph Emile ° en 1845 à Longuyon, + 04/07/1849 à Metz
Thérèse Charlotte Pauline ° 23/09/1846 à Longuyon
X 1868 Jadelot Félix Antoine
Sophie ° 02/07/1849 à Metz + 27/05/1869 à Metz
A Paris j’ai consulté :
Les documents Généalogiques de l’abbé Poirier
Elle se prénomme Charlotte Ursule, mais il indique en plus, dans les divers, Ursule Charlotte voir Proth (elle ne fait pas partie de la branche principale des Villeroy)
Généalogie de la famille Villeroy, issue de Françoise Noël (mais je n’ai plus la référence)
Elle se prénomme alors Caroline

Je pense que votre Ursule Charlotte est celle qui X Proth Joseph
Avec sa date de naissance, vous pouvez retrouver ses parent et la "raccorder" aux autres Villeroy
Bonnes recherches
Cordialement
Alain Beaulieu

 

Note N792 :

Individus : INCONNU Probablement Jacques Nicolas Jean Claude EMMERY De GROZYEULX (90)
Probablement Jacques Nicolas Jean EMMERY de GROZYEULX

 

Note N793 :

Individus : PERE INCONNU (102)
G.H.C. Numéro 35 : Février 1992 Page 510 et suivantes
La famille VALLET en Guyane (XVIII° siècle)
par le Docteur Yves Hervé
Si les demoiselles VALLET n'avaient pas, comme dans la vieille chanson de marine, "armé un bâtiment", originaires de La Rochelle, il est probable qu'elles débarquèrent en Guyane (du moins en ce qui concerne l'aînée) avec leur père, Athanase Bonaventure VALLET, écuyer, contrôleur des guerres, au moment de la dramatique expédition de Kourou, en 1763.
On sait combien fut désastreux le "grand dérangement", pour reprendre l'expression de nos cousins Acadiens. Organisé (si on peut dire!) par TURGOT, frère du futur ministre, avec l'appui de CHOISEUL, tous deux espérant en retirer de substantiels bénéfices, il contribua, avec les déportations politiques de la Révolution et l'instauration du bagne en 1851, à créer pour notre vieille colonie de
France Equinoxiale une déplorable réputation : celle de "cimetière des Européens", réputation qui fut longtemps la sienne et qu'elle est pourtant loin de mériter !
Athanase Bonaventure VALLET faisait sans doute partie des "cadres" de l'expédition. Il arrivait avec son épouse Elisabeth CORBUN et, semble-t-il, deux enfants nés à La Rochelle, François et Thérèse VALLET, celle-ci née vers 1760. L'accompagnait également son beau-frère Jean CORBUN, négociant, qui épousa à Cayenne, le 15 avril 1765, une créole, Catherine SIMON, fille de Thoams SIMON, receveur
des douanes du Roy, et de Marie Gertrude GOBERT. C'est le premier acte concernant cette famille que j'ai retrouvé sur les registres paroissiaux de Cayenne, ce qui semble donc bien situer leur arrivée à l'époque de l'expédition de Kourou, sans en apporter une certitude absolue. Par contre, nous avons cette certitude concernant un autre VALLET, Jean Baptiste VALLET de FAYOLLE, sur lequel nous
reviendrons un peu plus loin, ce dernier semblant avoir des liens étroits avec la famille VALLET-CORBUN.
Mais revenons sur ce patronyme de "VALLET". l'onomastique nous apprend qu'il n'a pas cette connotation un peu péjorative qu'on lui attribue a priori. Il vient en effet de ces varlets d'armes du Moyen-Age, jouvenceaux qui jouaient le rôle d'écuyers auprès des chevaliers. Il dérive d'ailleurs de "vasselets" : petit vassal, et ce rôle est toujours illustré de nos jours par les valets de jeux de cartes : Lahire, Ogier, etc. Notons aussi qu'une commune, sur la route de Nantes à Cholet, porte ce nom.
Une deuxième fille naquit au foyer d'Athanase Bonaventure VALLET et d'Elisabeth CORBUN, le 15 novembre 1766 à Cayenne, et fut prénommée Marie Catherine Elisabeth. Sa soeur aînée et elle (qui se trouvent être toutes deux mes quintaïeules) eurent une vie que l'on peut qualifier d'animée, dignes des luronnes de la chanson à laquelle je faisais allusion au début, et qui peut s'expliquer, sinon s'excuser, par, d'une part, la disparition prématurée de leur père, décédé le 23 septembre 1769 à 45 ans, après une brève carrière dans le négoce local, d'autre part, par la période troublée qu'elles traversèrent, à l'époque de leur épanouissement, la Révolution ayant, en Guyane comme ailleurs, entraîné un certain relâchement des moeurs. Il apparaît alors que Thérèse et Marie-Catherine envoyèrent allègrement leurs bonnets (phrygiens ?) par-dessus les moulins.
Qu'on en juge : Thérèse VALLET épousa d'abord fort sagement un jeune juif converti, Jean François PRUDHOMME, le 28 septembre 1777. Celui-ci, né à Besançon, était fils de Jean PRUDHOMME, banquier de la Compagnie des Indes, et d'Anne Charlotte Sophie de MOREAU. Le mariage devait presser car elle mit au monde un fils, Louis Jérôme PRUDHOMME, né le 6 mai 1778, donc légèrement plus tôt qu'il n'eût été décent. Bientôt veuve, à l'époque du Directoire, quelques années plus tard, elle fit la connaissance de Jean LEMBERTH, sous lieutenant au bataillon national de la Guyane, ci-devant 2° bataillon du 53° régiment, né en Sarre, à Blickweiller, duché des Deux-Ponts, et elle en eut une fille, Anne Thérèse, née le 1° décembre 1796 et reconnue par le père, qu'elle épousa six mois plus tard, le 22 mai 1797. Sa jeune soeur, Marie Catherine VALLET, suivit l'exemple de son aînée et donna le jour, le 30 septembre 1798, à Marie Joséphine VALLET, née de père inconnu. Elle épousa le 1° juillet 1801 Martial BLONDIN, maître menuisier, fils de Jean BLONDIN et de Marie Anne DUBOIS, dont, profitant des nouvelles lois républicaines, elle divorça en 1802.
Leur frère, François VALLET, marié le 12 juin 1792 à Catherine CHARNAL, en eut une fille, Louise Elisabeth VALLET, née le 12 avril 1793, et... divorça le 1° octobre 1798.
Nous voyons que, sur le plan de la liberté des moeurs, cette époque n'avait rien à envier à la nôtre !
Parallèlement à l'existence des demoiselles VALLET, se déroulait à Cayenne et à Roura celle de leur probablement proche parent Jean Baptiste Marie VALLET de FAYOLLE. Celui-ci, né à Marennes, fils de Pierre VALLET de SALIGNAC, écuyer, conseiller contrôleur des guerres, seigneur de Maul, Laperuzade, Luzac et autres lieux, et de dame Jeanne Elisabeth VOLLAND, fut commis principal de la
comptabilité de Cayenne en 1765, officier de milice en 1769, puis député de Roura en 1777 à une Assemblée coloniale réunie à l'intitiative de MALOUET. Il mourut à Paris le 14 janvier 1785, après avoir effectué des travaux sur la boussole et la force de l'aimant.
Il avait épousé à Cayenne :
- 25 juin 1765 Marie LEBLANC, native de Bayonne, fille de Pierre LEBLANC et demoiselle ROU. A ce mariage, étaient témoins Athanase Bonaventure VALLET (son oncle ?) et Jean CORBUN.
- 2 décembre 1769 Marie LEMOYNE, fille de Jean LEMOYNE et de Marie MARTELLI. témoins : de LA RIVIèRE, CORBUN.
Jean Baptiste Marie VALLET de FAYOLLE semble avoir été un personnage assez turbulent, si on en juge par une correspondance du 6 octobre 1765, trois pages que je résume ici :
Il se réclame d'abord des services rendus par sa famille : ses deux grands-pères VALLET et VOLLAND, chargés des
fournitures, voiles et chanvres de la Marine; son père, resté deux ans à Riga pour ses fournitures, et ancien Directeur général des gabelles;
son oncle VALLET de LA TOUCHE a eu la fourniture générale des vivres de l'armée d'Italie; il a deux soeurs mariées, l'une avec Monsieur de LAIGNER, frère du Commandant de la Marine à Rochefort, l'autre avec le fils de LA FORGE, maréchal des camps et armées de Sa Majesté. Il explique que son père, par "un zèle mal entendu des landes de Bordeaux à Bayonne" l'a réduit à passer dans cette colonie, dont il critique vivement les habitants (les membres de l'expédition de Kourou avaient été fort mal accueillis par les anciens colons). Il les traite de paresseux, peu industrieux et semblables aux "grenouilles qui demandent un roi". Pour conclure, il demande au ministre de lui avancer 6.000 écus ! ... Il est douteux qu'il ait obtenu satis- faction ! Détail amusant : dans cette correspondance, il est fait allusion à son oncle VALLET de LA TOUCHE. Le hasard d'une lecture m'apprend que celui-ci avait épousé la plus jeune des trois filles que le richissime financier Samuel BERNARD avait eues de sa maîtresse en titre, Madame FONTAINE. Elle était fort belle, mariée à 17 ans et, profitant des longues absences de son mari, qui, nous l'avons vu, était chargé de la fourniture des vivres à l'armée d'Italie, elle devint la maîtresse d'un lord anglais, le duc de KINGSTON, grand ami de BUFFON, tandis que ses soeurs étaient, l'une, Madame d'ARTY, maîtresse du prince de CONTI, l'autre, Madame DUPIN de FRANCUEIL, protectrice de Jean Jacques ROUSSEAU. Revenant d'Italie après deux ans d'absence, M. VALLET de LA TOUCHE n'apprécia guère la situation, d'autant que son épouse s'enfuit en Angleterre avec son Milord, affaire dont le tout Paris des salons fit des gorges chaudes. Cet intermède nous a quelque peu éloigné de la Guyane. Quel était le lien de parenté entre les deux frères VALLET de LA TOUCHE et de SALIGNAC et Athanase Bonaventure VALLET, qui nous intéresse plus directement ? Peut-être étaient-ils frères, ou tout au moins cousins. Plaide en faveur de cette hypothèse le fait que Jean Baptiste VALLET de FAYOLLE fut le tuteur de Marie Thérèse VALLET devenue orpheline. Mais était-ce bien là le mentor qui convenait à cette jeune personne un peu trop délurée ?
Sources :
- Registres de catholicité et d'état civil de Cayenne - CARAN : Colonies C/14 (sur VALLET de FAYOLLE)
- Notariat de Cayenne : M° Paguenaud
- "La Guyane 1604-1946" Docteur A. Henry Guyane Presse Diffusion
- "Buffon" Jacques Roger Fayard

 

Note N794 :

Individus : VILLEROY Claude Ambroise (364)
Auteur de la branche de Vaudrevange
Licencié en droit en 1759
Secrétaire de monsieur Palteau, commissaire des guerres à Metz

 

Note N795 :

Individus : DROUOT Pierre (730)
Prévot Royal de Marville, seigneur de Han et Saint Jean

 

Note N796 :

Individus : SIMONET Anne (1459)
Inhumée - contre le mur de façade de l'église
Son inscription funéraire se voit encore sur le mur principal de l'église de Givrauval ou l'on peut lire: " Anne Simonnet femme de Paul Hussenot 5 décembre 1729 âgée de 65 ans"...

 

Note N797 :

Individus : NOËL du LYS Florentin (2914)
http://www25.us.archive.org/details/lesfamillesnoeld00ottm

Author: Ott, M. A
Subject: Noël du Lys family; Villeroy family
Publisher: Nancy : Grosjean-Maupin
Language: French

 

Note N798 :

Individus : VAUTRIN dit NOËL Claude (5828)
mort de la peste

 

Note N799 :

Individus : VAUTRIN dit NOËL Claude (5828)
Les actes de l'État civil de Void (Meuse) prouvent que Claude Vautrin, Claude Noël (alias Vautrin), C. Vautrin (alias Noël), et Claude Noël, époux de Marguerite Gannetrel, sont une seule et même personne.
"LES FAMILLES NOËL DU LYS ET VILLEROY" GENEALOGIES DRESSÉES PAR M. A. OTT PUBLIÉES PAR G. DE BRAUX, NANCY, 1892

 

Note N800 :

Individus : EMMERY de GROZYEULX Jean Louis Claude (180)
ASSEMBLEE NATIONALE OU CHAMBRE DES DEPUTES: Présidence du 25/09/1790 au 09/10/1790 ; du 01/01/1791 au 18/01/1791
Il est né le 26 avril 1742 à Metz, dans une famille d'origine juive qui avait embrassée le catholicisme depuis deux générations. Fils d'un procureur au parlement de Metz, il était avocat à Metz en 1789.
Il adopta les idées de la Révolution et le 16 mars 1789 fut élu député du tiers aux Etats Généraux par le bailliage de Metz avec 22 voix sur les 23 votants.
Il y fut très actif et en est élu président de l'Assemblée Constituante du 4 au 17 janvier 1791.
Le 16 mai 1791, il fut élu juge au tribunal de cassation.
Après la dissolution de l'Assemblée constituante le 1er octobre 1791, il s'occupa exclusivement des devoirs de sa charge de juge au tribunal de cassation. Le 10 mai 1792, représentant celui-ci, il se rendit avec Thouret, Chabroud, Vieillard, tous ex-députés, à l'Assemblée Législative, pour y présenter un compte-rendu des travaux pendant la première année d'exercice.
Il était président du tribunal de cassation lorsque, devenu suspect sous la Terreur, il fut arrêté et ne dut sa liberté qu'au 9 thermidor.
Le 21 germinal an V, il fut élu député de la Seine au Conseil des Cinq-Cents, par 292 voix sur 330 votants. Il se joignit au parti modéré. Il en devint secrétaire le 1 thermidor an V.
Il adhéra au coup d'état du 18 brumaire et fut nommé par Bonaparte le 4 nivôse an VIII au Conseil d'État, où il prit une part active à l'élaboration du code civil.
Le 2 fructidor an XI, il entra au Sénat conservateur et devint, le 9 vendémiaire an XII, membre de la Légion d'honneur. Créé Comte de l'Empire le 23 mai 1808, Emmery vota en avril 1814 la déchéance de Napoléon Ier et fut nommé le 4 juin suivant Pair de France par Louis XVIII.
Resté fidèle aux Bourbons pendant les Cent-jours, il reprit en juillet 1815 son siège à la Chambre des Pairs, où il vota la mort du maréchal Ney et défendit les libertés octroyées par la Charte.
Il mourut à Augny le 15 juillet 1823.

 

Note N801 :

Individus : EMMERY de GROZYEULX Jacques Nicolas Jean Claude
EMMERY (Jacques -Nicolas-Jean-Claude, Comte), pair de France, né à Metz (Moselle) le 27 août 1788, mort à Metz le 5 décembre 1839, était sous-intendant militaire quand il fut admis à siéger à la Chambre des pairs, par droit héréditaire, en remplacement de son père, Jean-Louis-Claude Emmery, comte de Grozyeulx, décédé le 15 juillet 1823. Aucun souvenir n'est resté attaché à son rôle parlementaire. Le 28 octobre 1833, il fut retraité comme sous-intendant militaire.

 

Note N802 :

Individus : VILLEROY Joseph
Auteur de la branche de Void

 

Note N803 :

Individus : ESAIAS Frédérique Julie
Déclaration le 27 Ventôse an V

 

Note N804 :

Individus : VANTINI dit YUSUF Joseph
http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Vantini

Enlevé à l'âge de 5 ans par des pirates barbaresques, vendu comme esclave à Tunis, envoyé à l'âge de 13 ans à l'école des Mamelouks.
Rien ne prédestinait Yousouf, gamin grandi dans l'entourage de Napoléon 1er sur l'île d'Elbe jusqu'en 1815, à devenir un héros de légende.
Les parents de l'enfant Yousouf sont aux ordres de l'Empereur alors que celui-ci après sa première abdication règne sur l'île d'Elbe à l'Est de la Corse. Leur fils Joseph se rend à partir de cette île dans un établissement scolaire de la côte italienne, pour y parfaire son instruction. Sur le trajet maritime, le bateau est attaqué par des corsaires barbaresques. Enlevé l'enfant est mis en vente sur le marché des esclaves où il est acheté pour le compte du Bey de Tunis.
Le médecin français Lambert prend l'enfant sous sa protection, le fait vivre au harem et lui apprend à écrire la langue française. Il étudie également le Coran ainsi que les langues arabe, turque et espagnole. Il est destiné à être « Mamelouk » soldat-esclave dans la milice du Bey. Son prénom Joseph est transformé en Yousouf.
En raison de ses bonnes dispositions intellectuelles, il est mis à la disposition du trésorier du Bey où il remplit les tâches de secrétariat, bien que l'enfant préfère la vie de combat du mamelouk à celle de scribe.
Dans les opérations punitives, il excelle et reçoit une grave blessure au cours de l'une d'elle. Il est investi à dix-sept ans de la haute dignité de Bey de camp.
Le jeune homme devient un des personnages les plus en vue de la ville. Il fréquente assidûment le représentant de la France et se lie d'amitié avec les fils du Consul, Jules et Ferdinand de Lesseps.
Mais un soir du printemps 1830 sa vie va brutalement changer. Trahissant ses devoirs de mamelouk et de fraternelle amitié qui le lie au Bey Hoceïn, il se prend d'amour pour la fille de ce dernier Keboura. Il mérite la mort par strangulation, décapitation, pendaison ou par le suprême privilège d'être fusillé.
Le Bey juge sa fille non coupable et de ce fait, celle-ci fait savoir à son amoureux qu'il ne l'est pas, non plus et qu'il ne sera pas fusillé.
Il sera autorisé à se retirer du beylicat entouré d'une garde composée d'assassins à la solde du Khaznadar, le trésorier du Bey, qui voulait sa mort.
Les frères de Lesseps apprennent la chose et tiennent Yousouf pour un citoyen français. Ils organisent son évasion au cours d'un guet-apens où il doit être assassiné et le font embarquer sur « l'Adonis », brick du roi de France, qui rallie le 13 juin 1830, la flotte française.
Il rejoint alors l'Armée française en Algérie, participe à la prise d'Alger et à la conquête du pays.
En octobre 1830, le général Clauzel, successeur du maréchal de Bourmont, accepta les services des spahis en majorité d'origine turque, qui, avant l'arrivée des Français, constituaient l'essentiel des troupes montées du Dey d'Alger.
À ces derniers se joignirent des éléments locaux, comme les volontaires à cheval, qui formèrent le corps auxiliaire des chasseurs indigènes, rattachés aux zouaves et chasseurs d'Afrique.
Mais bientôt toutes ces formations disparates furent confiées au célèbre YOUSOUF (ou Yusuf), ce Français de l'île d'Elbe, enlevé par les corsaires barbaresques, élevé à la cour du Bey de Tunis et passé au service de la France en 1830.
Au faîte des honneurs, il retrouve ses parents à qui il répond « Je suis le fils de mes oeuvres et de mon sabre ». Il se rappelle avoir été baptisé, abjure la religion mulsumane pour ce faire catholique et se marier avec Mademoiselle Weyer qui est soeur du maréchal de logis Gustave Weyer, qu'il a décoré pour fait de guerre après la charge d'Isly. Il tenait à reprendre la nationalité française dans laquelle, il était né, et reçut cette qualité en 1839.
Cet intrépide cavalier, qui finira son extraordinaire carrière militaire en 1866 comme Général Commandant la division de Montpellier, rude sabreur et fin politique à la fois, mit ses spahis au premier rang de la cavalerie d'Afrique en les faisant participer à toutes les colonnes sous les ordres d'officiers français et indigènes particulièrement choisis.
Le nom de YOUSOUF est inséparable des premiers exploits des spahis. Il fut le véritable créateur de ce corps d'élite, le forma à son image et lui communiqua cette ardeur héroïque, cet esprit aventureux dont la tradition allait se conserver pendant cent trente-deux ans sur tous les champs de bataille de l'armée française.
Bibliographie :

Yousouf le flamboyant de Georges Fleury Editions Flammarion
Yousouf Premier spahi de France par Paluel-Marmont Editions Rouge et Or paru en 1953
Yusuf un général hors pair Revue P.N.H.A n°86 Editions du Grand Sud -34070 Montpellier
La vie du général Yusuf dans "Vies des hommes illustres" n°54 librairie Gallimard 1930
Général Edmond JOUHAUD à compléter

 

Note N805 :

Individus : CHAUVIN Élie
Abjuration le 14/01/1714 à Saint Palais sur Mer

 

Note N806 :

Individus : VILLEROY de GALHAU Emmanuel Jean Pierre Paul
Par décret du président de la république Française en date du 9 mai 1909, Emmanuel Villeroy a été autorisé à ajouter "de Galhau" à son patronyme, le patronyme "de Galhau étant tombé en déshérance avec le décès du dernier porteur mâle du nom, Nicolas Adolphe de Galhau, mort sans descendance

 

Note N807 :

Individus : du LYS Hauvix Ou Helwilde Ou Henriette
Hauvy, l'épouse d'Etienne HORDAL, serait la fille de Pierre D'ARC, troisième frère de la Pucelle, (selon Jean HORDAL 1552 -1618) ; ou encore de Pierre (Pierret) D'ARC, fils de Jacquemin le frère aîné de Jeanne D'ARC. (Voir La querelle du Lys dans le livre intitulé : Puis vinrent les Suédois...)
I°/ Pierre D'ARC : 5° et dernier enfant de Jacques dArc et d'Isabelle Romée. Né après 1412, Pierre épouse Jeanne Baudot, d'où Jean du Lys marié à Macée de Vézine, mort sans postérité.
2°/ Pierre (dit Pierret) D'ARC : fils de Jacquemin d'Arc et de Catherine Corviset. Né avant 1430, il aurait épousé Jeanne de Prouville (?), d'où Hauvy (qui épousera a son tour Etienne HORDAL) et Jan.

 

Note N808 :

Individus : DELOUZE Jean "Michel"
Ascendance hypothétique
01.06.1693 (à Insming) Echanges entre Jean Jacques DELOUZE, laboureur demeurant à Honskirch d’une part Jean Michel DELOUZE son frère d’autre part
Témoins : Nicolas RIEB, maître chirurgien à Insming, Joseph GAILLOT, fils majeur demeurant à Dieuze.

 

Note N809 :

Individus : LACHAPELLE Jacques Philippe (298)
Fils illégitime

 

Note N810 :

Individus : LACHAPELLE Jacques Philippe Joseph
L'an 1823, le 18 de juin, deux heures de relevée, par devant nous Devemy Louis François Joseph, maire et officier de l'Etat-Civil de la commune d'Avesnes le Sec, canton de Bouchain, 6ème arrondissement du département du Nord, sont comparus Charles Deloffre, âgé de 39 ans et Jacques Leroi, âgé de 40 ans, tous deux cultivateurs de profession et domiciliés à Avesnes-le-Sec, et beaux fils au défunt. Lesquels nous ont déclaré que ce jourd'hui, à 11h du matin, Jacques Lachapelle, âgé de 77 ans, époux de Marie Renaud, est décédé en sa maison, sise rue de la grande vallée, et ont les comparants signé avec nous le présent acte de décès, après que lecture leur en a été faite, de ce interpellé.

 

Note N811 :

Individus : JACQUELIN François Joseph
Fils illégitime

 

Note N812 :

Individus : MARLIÈRE Michel
Fils illégitime

 

Note N813 :

Individus : SAIN Claude Antoine
Chevalier de l'ordre royal et Militaire de Saint-Louis. Maire de Villefranche-sur-Saône en 1792 et premier sous-prefet de l'arrondissement de Villefranche en 1800

 

Note N814 :

Individus : PROTH Georges
http://www.ufe-venezuela.com/contact/contact-03-02/contact-UFE-03-02-page3.htm

 

Note N815 :

Individus : BONAPARTE Marie
Amie de Roland Dalbiez

 

Note N816 :

Individus : CHENAVARD Claude "Aimé"
Longtemps attaché à la manufacture de Sèvres, auteur d'un "Album de l'ornemaniste" 1835 et d'un "Nouveau recueil de décorations intérieures".

 

Note N817 :

Individus : CHENAVARD Paul Marc Joseph
http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Chenavard
Son salon fut le centre d'un groupe artistique. "Le Jugement de Louis XVI" 1833 (retirée du salon sur ordre de Louis-Philippe), "Le Martyre de saint Polycarpe", "La Pentecôte", "La Résurrection des morts", "L'Enfer", "L'Histoire de l'humanité" (projet pour le Panthéon auquel il dut renoncer) 1855, "Divina tragedia" 1869.

 

Note N818 :

Individus : STOCK Christophe Ou Stoffel (12032)
Stoffel STOCK, bourgeois de Morhange , né avant 1585, décédé entre en 1634 et en 1636, Morhange, Lorraine, France, capitaine de cavalerie dans les troupes de l'Empereur, maire de Morhange

 

Note N819 :

Individus : STOCK Paulus
Maire de Morhange de 1655 à 1657
Bourgeois de Morhange de 1665 à 1669
Maître échevin de orhange en 1673
Gruyer du comté de Morhange

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